Mes ts Paris
Je suis "juilletiste" comme disent les journalistes...
J'aime passer le mois d'aot Paris...le stationnement est gratuit, il n'y a que des touristes dans les rues ou des jeunes gens qui ont tout dpens dans les fringues et qui ne veulent pas partir avec leurs parents...
Mais l, j'ai comme un "blues"...
Je me repasse l' album de Cassius ainsi que les vidos "shootes" lors du concert que le duo a donn San Sebastian afin de me rappeler au bon souvenir du beau temps, de la "concha" et de cette ville du pays basque espagnol que j'adore...
Ce soir-l je dcouvrais Philippe Zdar en vrai, jusque l j'ambitionnais une coupe de cheveux comparable et j'aprciais la musique de Cassius, mais je ne l'avais jamais entendu chanter sur scne, "live" comme le dit cet abruti de Nagui...
La cte ouest espagnole m'a sembl se transformer en cte ouest US tant ce mec m'a fait penser Michael Franks...
Avec Cassius, on est entre euphorie et mlancolie...comme on est entre paradis et enfer chez Michael Franks,
paradis usuel avec palmiers et mer turquoise et enfer intrieur, tourments, insatisfaction chronique...
J'ai pens aussi Robbie Robertson, auquel Zdar emprunte la structure de "Somewhere down the crazy river" dans "How do U see me now", ne pas confondre avec "How do you Cimino", rfrence aux oprations subies par ce grand cinaste amricain...
Les images du clip tourn par Scorsese me reviennent trs vite en mmoire et la difficult qu'a Robertson sortir de sa rserve et exprimer ses sentiments...Zdar c'est cette difficult l qu'il arrive faire ressentir comme ces matres du "spleen" quatre toiles luxe...
Enfin, rtrospectivement, je me dis que si j'arrivais faire ce film sur Thierry Paulin dont je rve, je confierais
volontiers la conception de la musique des scnes de "night club" Zdar, Zdar et Mitch Silver quand il sera sorti de sa cryognisation...
Je suis "juilletiste" comme disent les journalistes...
J'aime passer le mois d'aot Paris...le stationnement est gratuit, il n'y a que des touristes dans les rues ou des jeunes gens qui ont tout dpens dans les fringues et qui ne veulent pas partir avec leurs parents...
Mais l, j'ai comme un "blues"...
Je me repasse l' album de Cassius ainsi que les vidos "shootes" lors du concert que le duo a donn San Sebastian afin de me rappeler au bon souvenir du beau temps, de la "concha" et de cette ville du pays basque espagnol que j'adore...
Ce soir-l je dcouvrais Philippe Zdar en vrai, jusque l j'ambitionnais une coupe de cheveux comparable et j'aprciais la musique de Cassius, mais je ne l'avais jamais entendu chanter sur scne, "live" comme le dit cet abruti de Nagui...
La cte ouest espagnole m'a sembl se transformer en cte ouest US tant ce mec m'a fait penser Michael Franks...
Avec Cassius, on est entre euphorie et mlancolie...comme on est entre paradis et enfer chez Michael Franks,
paradis usuel avec palmiers et mer turquoise et enfer intrieur, tourments, insatisfaction chronique...
J'ai pens aussi Robbie Robertson, auquel Zdar emprunte la structure de "Somewhere down the crazy river" dans "How do U see me now", ne pas confondre avec "How do you Cimino", rfrence aux oprations subies par ce grand cinaste amricain...
Les images du clip tourn par Scorsese me reviennent trs vite en mmoire et la difficult qu'a Robertson sortir de sa rserve et exprimer ses sentiments...Zdar c'est cette difficult l qu'il arrive faire ressentir comme ces matres du "spleen" quatre toiles luxe...
Enfin, rtrospectivement, je me dis que si j'arrivais faire ce film sur Thierry Paulin dont je rve, je confierais
volontiers la conception de la musique des scnes de "night club" Zdar, Zdar et Mitch Silver quand il sera sorti de sa cryognisation...
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