Dans les mandres industriels en friche, je cherche mon me. Je cours agonisant. Je respire de l'acide. Je pompe mon sang grande vitesse le long de mes artres . La vie de misre cours derrire moi, je la fuis toute vitesse. Je me sens bien courir dans cet amas de dchets, ces morceaux d'histoires pathtiques ! Cours aprs moi essaies de m'attraper. Rien faire pour rattraper les distances de la fuite inexorable vers le bonheur palpable. Le mur face la limite de la fort n'est pas infranchissable !
Mur agonie. Espoir Bris.
Dsespoir agonisant. Vie creve.
Quelqu'un veut que je devienne fou, que je suive l'exemple familiale si bien cach une ducation aveugle. Nous mourrons tous de cette ignorance si nfaste. Pourquoi toujours tout passer sous silence ?
Une mare se prsente devant moi, la boue colle toujours mes chaussures. Une boue moiti sche. Si lourde. Comme un malaise constant sous mes pieds, je connais si bien ce sentiment de malaise qu'il est devenu mon ami. Cette sorte de croyance qui nous pousse penser que nous sommes tous l, victimes ternelles. Sans aucune sortie possible, sans possibilit de respirer un jour un autre air, ne pas sortir du froid des marais. Ne pas sortir de la douleur reposante. Toujours briss. Jamais guris. Si facile est cette sensation. Je l'ai toujours connue. Je me repente toujours quoique je fasse. Je repente l'infini mes penses d'humain rleur et insatisfait, pour encore quelques annes de mpris envers la seule race qui mrite le mpris, la race de mes anctres, ma race, la seule et unique RACE HUMAINE faite de tous ces sentiments mprisables que sont le jugement facile, les dbris de consciences humaines et sanglantes.
Mais maintenant je sens les fibres optiques qui se mettent en action, et transmettent les donnes de la conscience collective relie par ces cbles infinis, je sens mon tat d'esprit changer de forme je sens l'action se faire, les connexions s'effectuent...
1.2.3.4.5.6.7.8.9.10 IGNITION !
Je suis en recyclage deuxime stade. Le lavage des penses originales se fait. Ce bonheur UNIVERSEL me fait fuir pas de gant. Je veux mon bonheur moi, mon univers est unique, je me plais le penser et le vivre. Je ne veux pas fuir la tristesse. Je veux la voir me fuir !
Mur agonie. Espoir Bris.
Dsespoir agonisant. Vie creve.
Quelqu'un veut que je devienne fou, que je suive l'exemple familiale si bien cach une ducation aveugle. Nous mourrons tous de cette ignorance si nfaste. Pourquoi toujours tout passer sous silence ?
Une mare se prsente devant moi, la boue colle toujours mes chaussures. Une boue moiti sche. Si lourde. Comme un malaise constant sous mes pieds, je connais si bien ce sentiment de malaise qu'il est devenu mon ami. Cette sorte de croyance qui nous pousse penser que nous sommes tous l, victimes ternelles. Sans aucune sortie possible, sans possibilit de respirer un jour un autre air, ne pas sortir du froid des marais. Ne pas sortir de la douleur reposante. Toujours briss. Jamais guris. Si facile est cette sensation. Je l'ai toujours connue. Je me repente toujours quoique je fasse. Je repente l'infini mes penses d'humain rleur et insatisfait, pour encore quelques annes de mpris envers la seule race qui mrite le mpris, la race de mes anctres, ma race, la seule et unique RACE HUMAINE faite de tous ces sentiments mprisables que sont le jugement facile, les dbris de consciences humaines et sanglantes.
Mais maintenant je sens les fibres optiques qui se mettent en action, et transmettent les donnes de la conscience collective relie par ces cbles infinis, je sens mon tat d'esprit changer de forme je sens l'action se faire, les connexions s'effectuent...
1.2.3.4.5.6.7.8.9.10 IGNITION !
Je suis en recyclage deuxime stade. Le lavage des penses originales se fait. Ce bonheur UNIVERSEL me fait fuir pas de gant. Je veux mon bonheur moi, mon univers est unique, je me plais le penser et le vivre. Je ne veux pas fuir la tristesse. Je veux la voir me fuir !
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