Il est six heures au clocher de l'église Dans le square les fleurs poétisent Une fille va sortir de la mairie Comme chaque soir je l'attends Elle me sourit Il faudrait que je lui parle À tout prix Je lui dirai les mots bleus Les mots qu'on dit avec les yeux Parler me semble ridicule Je m'élance et puis je recule Devant une phrase inutile Qui briserait l'instant fragile D'une rencontre D'une rencontre Je lui dirai les mots bleus Ceux qui rendent les gens heureux Je l'appellerai sans la nommer Je suis peut-être démodé Le vent d'hiver souffle en avril J'aime le silence immobile D'une rencontre D'une rencontre Il n'y a plus d'horloge, plus de clocher Dans le square les arbres sont couchés Je reviens par le train de nuit Sur le quai je la vois Qui me sourit Il faudra bien…
SuicideGirls… became famous for embracing beauty in every shape and form — meaning bodies covered in tattoos, having bright-colored hair, and being outside of traditional beauty norms were celebrated. The name comes from the idea that women who commit “social suicide” by being different come together.
A nation wide art-sleaze phenomenon.
It’s like a punk rock Vogue…with artful nude photos of women.
Fifteen years ago, a small-but-passionate community that celebrated beauty in alternative, pinup-style photography was born. It was called SuicideGirls.
They’re the girls next door - but more colorful and with better record collections.
SuicideGirls respond… in the best way possible.
The meeting place for people interested in alternative lifestyles.
SuicideGirls is as much about community as it is about naked photos of tattooed women.
SuicideGirls is redefining concepts of beauty across the globe.